Finalement, nous devrions finir par demander, tout comme les étudiants de Tour ou l'Ah non, l'abrogation de la loi 52!
Car nous pouvons penser dans un sens ou de l'autre, quelque part nous nous trouvons dans un filet difficilement demêlable.
Le 7.4. j'ai trouvé que les nouveaux décrets étaient mieux formulé pour nous les psychologues, qui n'avions plus à aller à l'université pour s'appeller Thérapeute. Mais il est vrai que l'idée que les infirmières et les éducateurs peuvent devenir si rapidement thérapeute à leur tour, avec une visée de rééducation et réadaptation des patients, me fait peur.
Le ministre a demandé le 7.4. à ce que les associations présents présentent de nouveaux formulations pour les décrets. En relisant le Verbatim, je pense que chaque association va argumenter pour sa propre chapelle, bref, je ne pense pas que quelque chose de très construit peut s'en sortir de ces propositions. Trop d'intérêts contradictoires se rencontrent ici.
Demain, la nouvelle écriture de décrets peut de nouveau prendre un autre virage, encore moins réjouissant. Nous allons devoir rester vigilent pour éviter le pire...
Je pense à la longue qu'une demande d'abrogation de la loi serait la mieux placé.
Comment faire?
Ecrire aux sénateurs et députés de toute la France. Si chaque psychologue s'y met, ils vont devoir y prêter attention... Les députés sont sensées de poser des questions dans l'assemblée, peuvent demander l'abrogation des lois, modifications des lois...
Pourquoi pas tenter de se mobiliser de ce côté???
Qu'en pensez vous?